jeudi 15 mai 2008

NIN : The great below

C'est LE morceau qui me donne des frissons... montez le son!!!

6 Comments:

francois amoretti said...

C'est un excellent morceau! C'est vrai, les frissons sont mérités!

Mademoiselle P said...

Je me souviens: je l'avais écouté à la montagne lors d'une randonnée dans le Queyras. Assise sur une pierre surplombant une vallée vertigineuse. Le ciel était lourd de nuages humides, le vent glacial frappant de plein fouet le visage sciemment découvert. Et une brumeuse étrangement majustueuse se muait lentement en léchant la cime des Mélèzes... et je prends ma place dans les grandes profondeurs..

francois amoretti said...

C'est dans ce genre de moment qu'on entre-aperçoit le Vide. On a peur mais c'est grisant!

Dis, Miss P., tu connais Sigur Ros? Sinon va jeter une oreille sur Deezer ou autre Seeqpod. Ils ont des arguments!
Faut que je fasse écouter ça aussi à Ulysse!

LoliPauline said...

Moi aussi je l'aime cette chanson. Mais je reste toujours accrochée à l'album Broken... tu le connais?

Mademoiselle P said...

Aïe! Honte à moi! Non je ne l'ai pas écouté. En fait je suis amoureuse d'un live de NIN et je ne le quitte plus, même pour aller découvrir le reste de leur discographie.. Il faudrait que je sorte de mes propres sentiers battus hein?

Ulysse said...

Devenir précaire... mais qui y pense encore...puis, c'est difficile à faire... Se faire fragile et puis fébrile et se muer en ombre de mur: se constituer en mur de façon durable par exercice de patience puis devenir ce mur et, reconnu pour tel, écouter silencieusement pour ne pas dire religieusement les bavardages alentour: dire son mot quand il en est encore temps: prendre la parole occasionnellement.