*RétrosPective*

TOc Toc tOc...
*gruiiiiik*...

...Je pénètre dans le monde merveilleux de m a d e m o i s e l l e P..
Mais! Que c'est curieux: comment une tapisserie rose bonbon peut-elle côtoyer des tableaux aussi fumés et sombres que Marguerite au SAbbat?
qui? Qui est-elle vraiment, celle qui se dit louable mais pas prostituée? en est-elle bien sure?
Comment peut-elle à la fois être le cliché de l'adolescente tout en photographiant des paysages méditatifs dans lesquels elle se perd?
Entre quels mondes évolue-t-elle? Comment peut-elle se permettre de rêver sa vie alors qu'elle doit agir?

- C'est douloureux...
- Comment?
- Je dis... peut-être que c'est trop douloureux de faire face au monde. Tu as déjà éssayé toi, de croire en la vertu? De croire en l'homme?
- ...
- Je ne peux plus lui faire confiance : il laisse mourir les siens, il fait pourrir le monde! ...
- Tu es aussi des leurs... Tu ne peux pas passer ta vie à laisser ton regard glisser sur les gens sans jamais les regarder
- Si tu regardes droit devant, ils n'existent plus..
- Oui, ... mais tu es seule...
- je suiS imMoRtelLe...
- ça ne veut pas dire que tu vivras toujours ...

O! une photO!

Je suis tombée dessus à Nice... je l'ai trouvé très belle : le bois sombre et brillant de la porte avec tous les petits détails de la manche m'ont fait pensé à Venise.. allez savoir pourquoi.. je n'y suis jamais allée!

Quelqu'un sait-il comment ça s'appelle au fait cette chose?

Si vous avez un titre également je suis preneuse! (j'aime bien vous faire travailler aussi décidemment! ;) ).

Raaaa pour ceux qui veulent des nouvelles en voilà : j'ai des partiels avant et après les vacances alors que je pars au Vietnam et au Cambodge pendant dix jours... donc je stresse. Mais bon je vais pas me plaindre, ça fait des années que je rêve d'aller en Asie! Je vais éssayer de ramener de belles photos et pourquoi pas m'exercer à mon futur métier d'anthropologue.. et puis qui sait, peut-être qu'un jour je vous ferrai part de ce que j'apprends et que ce blog deviendra un site d'anthropologie... hi! ce serait chouette quand même! Si bien entendu ça intéresse quelqu'un..

Pleins de bisous à vous tous qui n'êtes pas nombreux... :)

Nouvelle série

Voilà un bien mysterieux et bien paisible endroit me direz-vous, si j'avais envie de casser un peu votre impression je vous répondrais que c'est la promenade des anglais à Nice, plage pour touristes et grosses vieilles liftées marquées poufiasses, mais je n'en ferrai rien.
Je quittais donc cet endroit pour la dernière fois avant la prochaine, avec tout mon studio dans le coffre de la voiture... même si j'ai craché sur cette ville pendant un mois et demi, je suis un peu nostalgique.
J'en profite donc pour vous annoncer, suite à un précédent billet larmoyant, que j'ai pris ma décision : finalement je suis retournée chez moi il ya de cela trois semaines, faire une licence d'anthropologie. Depuis tout va mieux.

(Merci encore pour vos messages d'encouragement, vos avis et conseils... ça m'a beaucoup touchée.)

P.S. : j'ai encore beaucoup de photos à vous montrer j'espère que j'aurai le temps et le talent pour les retoucher de façon à ce qu'elles soient présentables! ;)

Billet pour moi ^^

Découvrez Les Rita Mitsouko!

Voilà un tableau de Dagnan, intitulé Marguerite au sabbat. Il m'a séduite au premier regard, je suis tombée sous son charme, la passion, le feu, le désespoir, la faiblesse, le "je me rends... mais pourquoi? pourquoi?! m'avoir fait ça à moi?!!", sa fragilité, son émoi, son érotisme, sa précarité et sa beauté dans sa nudité, sa pudeur autant que sa lascivité, son apel au secours, autant que sa colère...

je l'aime...

(en plus il va très bien avec la chanson)

Photos à intérêt réduit

C'est avec émotion que je vous présente



ma nouvelle série de photos intitulée:




S2riedjédaïeuhàlalosthighwayinutilisableendeuxsecondes

fight!!!! FIIIIIIIIIIIIIIIGHT!!

Aller .... on est sur la bonne voie... on se bouge maintenant...
enfin on éssaye...

Un autre point de vue pour L.

Problème de conscience...

Bonjour tout le monde!

Je n'ai vraiment pas l'habitude de vous raconter ma vie sur ce blog, mais voilà, j'ai quand meme besoin de parler.. à mon ordinateur? hum..

*La vie est en ce moment bien difficile. Je viens de passer un été bouleversant: j'ai changé énormément en seulement deux mois. J'ai grandi, je me suis transformée, et j'en suis meme arrivée à me couper les cheveux ce qui ne m'était pas arrivé depuis des années et des années... j'avais les cheveux jusqu'aux fesses, maitenant j'ai un carré plongeant.

Je suis passée le 3 septembre à un age charnière dans une vie. Et depuis une semaine j'habite à plus de 200km de chez moi.

Je fais une prépa littéraire.

Enfin j'aimerai éssayer. Le problème c'est que je pleure.

Beaucoup. Meme si ça dépend des jours, tout ce dont j'ai envie c'est de me cloitrer dans mon studio et de ne plus sortir jusqu'à ce qu'on me dise: "C'est bon Miss P., c'est pas grave personne ne t'en veut meme si tu n'as pas éssayé".

Le deal c'était pourtant que j'éssaye quoi qu'il pouvait m'en couter. Mais il me semble que je n'ai pas réalisé lorsque j'ai envoyé mon dossier que je m'embarquais dans une galère sans nom. Qu'allais-je faire là-bas?Ce n'est qu'une fois seule, loin des gens que j'aime, dans une ville inconnue, avec un poids sur les épaules, et surtout sur ma conscience, que j'ai compris:

ça va être très difficile...

J'ai une envie irréprésible de tout quitter, d'aller me confondre dans l'anonymat des facs et d'apprendre à un rythme simplement humain et non pas sur-humain...

L'argument qui me trotte en tete est celui-ci: n'est-il pas, forcément, plus facile de réussir ses études, aussi difficiles soient-t-elles à partir du moment où on ne manque pas d'amour?

J'ai besoin d'amour, sinon je dépéris.. c'est très simple.

Leur argument est que je n'ai pas éssayé suffisamment longtemps pour pouvoir abandonner. Ils disent aussi que peu s'en sortent en fac, et qu'il vaut mieux avoir fait ne serait-ce qu'un an de prépa pour acquérir méthodes et culture nécessaires pour griller tout le monde en fac.

Bref, le problème c'est que je n'arrive pas à me décider. D'un coté j'aimerai y arriver mais j'ai une peur bleue des difficultés surtout de cet ampleur là. Je me connais un peu et je sais donc que si je continue j'aurai pu dvie: jprends ce que je fais tellement au sérieux! Il faut que je le fasse aussi parfaitement que je peux! Vu la montagne de boulot que je vais avoir, je ne pense pas pouvoir tenir un tel rythme je crois que je vais me rendre malade.. (j''espère que je ne suis pas trop embrouillée pour celui ou celle qui a le courage de lire ça .... qu'il en soit remercié d'ailleurs ^^) Et je n'ai pas envie d'arrêter de vivre pendant deux ans, ni pendant une année, c'est beaucoup trop long et je ne le supporterai pas.

Mais tout le monde avait mis tant d'espoir en moi et dans cette prépa .. que je me sentirai et que je me sens déjà une m***** de vouloir arreter maintenant. Je manque de c**** c'est indéniable.. malheureusement pour moi.

Faut croire que je suis malgré tout restée une toute petite fille....

*photos: toutes les deux sont prises du petit balcon de mon studio. Il s'agit en fait d'un ancien hotel, "l'hotel beausoleil". Sur la seconde ce sont les immeubles que l'ont voit de la fenetre, je suis en centre ville...

les ruines

Croiser les croyances

Chiale un coup... ça peut pas nous faire de mal

Oh la sale bête!!

Le joueur de cartes ou ce que vous voulez

J'ai décidé de faire des photos de tables. Oui, de tables.

Elles sont le centre d'un lieu de réunion, voire un indispensable symbole de convivialité.
Et pis je trouve ça très chouette parce que ça me permettra de me souvenir de telle ou telle soirée à partir des objets éparpillés dessus.

Pis c'est un bon exercice pour une novice en photographie comme moi d'apprendre à photographier des objets. Pas si facile que ça l'air de rien.. la lumière est difficile à gérer, l'angle (et oui parce que je me refuse de bouger les objets sur la table avant de prendre la photo), et pis la netteté parce que dès qu'on se retrouve au dessous d'un certain seuil de luminosité, ça devient chaud.

Fenêtre du matin, du soir

49

Nous sommes aujourd'hui: hier, doucement, a chu

entre des doigts de jour et des yeux de sommeil,

demain arrivera de sa verte démarche,

et nul n'arrêtera le fleuve de l'aurore.

Et nul n'arrêtera le fleue de tes mains,

pas plus que de tes yeux de sommeil, bien-aimée,

tu es le tremblement des heures qui s'écoulent

de la lumière abrupte au soleil de ténèbres,

et sur toi c'est le ciel qui referme ses ailes

et il t'emporte et il t'apporte dans mes bras

ponctuel, avec sa courtoisie mystèrieuse.

C'est pour cela que je chante au jour, à la lune,

à la mer et au temps, à toutes les planètes,

à tes mots de clarté, comme à ta chair nocturne.

Pablo Neruda, La centaine d'amour

(ma reconnaissance éternelle à celui qui peut m'expliquer comment faire des espaces entre les strophes, parce que ce souperb' poème est un sonnet , donc il mérite ses strophes)

Re-belote: encore une image sans titre... (ça craint)

Leurs yeus toujours purs

Jours de lenteur, jours de pluie

Jours de miroirs brisés et d'aiguilles perdues,

Jours de paupières closes à l'horizon des mers,

d'heures toutes semblables, jours de captivité,

Mon esprit qui brillait encore sur les feuilles

Et les fleurs, mon esprit est nu come l'amour,

L'aurore qu'il oublie lui fait baisser la tête

Et contempler de son corps obésissant et vain.

Pourtant, j'ai vu les plus beaux yeux du monde

Dieux d'argent qui tenaient des saphirs dans leurs mains,

De véritables dieux , des oiseaux dans la terre

Et dans l'eau, je les ai vus.

Leurs ailes sont les miennes, rien n'existe

Que leur vol qui secoue ma misère,

Leur vol d'étoile et de lumière

Leur vol de terre, leur vol de pierre

Sur les flots de leurs ailes,

Ma pensée soutenue par la vie et la mort.

Eluard, Capitale de la douleur

(pourquoi l'image devrait-elle avoir un rapport avec le poème?! Mince à la fin... Désolée au fait pour la mise en page ratée.. mais il était po d'accord.)

Exposition: entre rouge chair et succube... (la suite)

Pt*** c'est définitivement trop petit mais tant pis.

Tant pis aussi si je me déshabille.

J'ai pris sur moi pour oser vous la montrer.

Elle me gène.

C'est pas qu'une question de pudeur.

Elle me dérange...

Samedi 28

Bonsoir tout le monde!

Je voulais vous confirmer que l'expo aura bien lieue ce samedi 28.
J'y serai toute la journée. C'est rue Gaston de Saporta à Aix en provence, près de sciences po, à l'IMPGT.

PS: JE SUIS CONTENTE.

Enjoy c'est l'été

Découvrez Jean-Luc Lahaye!

Découvrez Elmer Food Beat!

Découvrez Partenaire Particulier!

Découvrez Rose Laurens!

Découvrez Jean-Pierre Mader!

Découvrez Indochine!

oui je sais ça craint!!!

Et hop un choux-fleur...

... ça passera...

Découvrez Jeanette!

Petite fille

Découvrez Urge Overkill!

Expo: suite

Elles sont vraiment trop petites sur ce blog... c'est dommage. Ca gache.

Expo: Du neuf du neuf!

Toutes f'raiches de ce soir!!

C'est toute une série... et! je vais me faire taper sur la gueule...

C'est bien gentil de regarder mais j'aime bien vous faire travailler un peu aussi... titre?

Exercice spirituel piqué à Ulysse

Je suis...

perméable aux pleurs d'autrui; pratiquable pour qui connait la théorie; imperturbable devant une tartiflette; évocable par qui a assez de vocabulaire; inapplicable constamment changeante; inéxplicable possédant mes raisons que la raison ignore; effaçable quoique laissant quelques marques indélébiles; abordable autant qu'un vaisseau pirate; intimidable devant les grands esprits; pendable pour mes discours d'écolo extrêmiste; recommandable pour qui ne sait accorder son humeur et sa bière; corvéable voire maniaque; infatigable poursuivant une fin plaisante; innavigable sous l'emprise de Calypso; forgeable par une main experte; imprégnable, véritable éponge; inconciliable sans un bon liant; châtiable aimant ça; insatiable d'amour, aimante aimant aimer; invariable quant à mon unité; irréconciliable avec les prêtres; maniable autant qu'une arme fidèle; violable, étrangement attirée par l'inquisiteur; putréfiable autant qu'une chair éphémère; incomprimable: trop volumineuse; inflammable, alcoolisée ou non; damnable pêcheresse récidiviste; déraisonnable lorsque portée par une passion délicieuse; brûlable autant que n'importe quelle sorcière; impressionable devant la connerie humaine; indéracinable et même mandragore; intenable quand emportée par la musique et le clair de lune; insoupçonnable voleuse hors pair; minable, assomée par une gueule de bois; pardonnable de naïveté; coupable d'humanité; adorable mais pas divine; altérable, récif bercé par la vague; papable? plutôt mamable; palpable, bien en chair; censurable par les individus polis; désirable autant que libidinale; incalculable bien que valeur chiffrée; irrespirable quand embrumée par le tabac; respirable puisque lavable; décevable, espérant trop; inlassable rêveuse; inimaginable autrement.

(Merci l'ami)

hmmm... c'est quand même un peu court...

Petit rasta

C'est pas parce qu'il fait moche qu'on va se laisser faire! Alors j'ai trouvé ce morceau qui m'a fait marrer.. c'est tellement vrai ..

"Faut pas jouer au pauvre quand on a de la monnaie simple question de décence, de respect"

Découvrez Monsieur Roux!

Réconfort du jour

Au delà des nuages , le ciel reste bleu...

Oups!

Finalement...

J'ai décidé de remplacer la fleur (qui n'a l'air d'emballer personne ) par celle là, qui fait partie de la série du miroir. Mais votez quand même! Ce n'est pas parce que j'en envoie quatre qu'elles seront retenues!

Viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite!!!

Salut tout le monde!

Je réclame votre attention sioux plait! Je vais peut-être me faire exposer fin juin (ce serait une expo vente aux enchères) et j'ai besoin de vos avis concernant le choix des photos. Si ça ne tenais qu'à moi je leur en aurait proposé 4: les godasses, le miroir, celle du dessus, et celle des chaussettes. Mais cela ne dépend pas complètement de moi, donc il y a de fortes chances pour qu'il faille choisir. Il faut bien entendu tenir compte du fait qu'elles pourraient être achetées. La question est donc d'en choisir deux parmis ces quatres que vous verriez bien dans votre salon!!

Pour ce faire, merci de voter sur ma superbe colonne de droite. (et oui parce que j'ai perdu ma colonne de gauche il y a un moment de cela, perte sèche pour l'humanité... ) Et pourquoi pas de demander à vos connaissances de voter aussi, il me faut des avis!!! (enfin je crois...)

Je vous tiens au jus pour cette histoire bien entendu.

Héhéhé!

Voilà ma petite protégée.
Y a-t-il des botanistes parmis vous? Ou simplement des connaisseurs? Que pensez-vous que ça soit?
Indices:
*cette plante était prisée dès l'antiquité pour ses vertus thérapeutiques parmis lesquelles elle serait antiseptique, fébrifuge, stimulante, émmenagogue et diurétique.
*Beaucoup d'artistes des XVIIIe et XIXe siècles en prenaient (sous quelle forme je ne vous le dirai pas sinon c'est trop facile) car elle était une soit-disant source d'inspiration.
*Elle dégage une forte odeur aromatique et est très amère.

Cet article n'est en fait qu'un prétexte. Je fais ma maline, mais je cherche une recette pour la préparer, quelque chose de pas trop compliqué et de réalisable si possible.

Exercice de retouchage...

Je me suis amusée à retoucher une vieille photo... laquelle vous préférez? (si tant est qu'elle vous plaise!...)
Un p'tit Noir Désir pour la peine ça fait du bien..


A se changer en Roi
A hurler à la lune
A traquer la fortune
Tout ça pour traîner son poids
Au risque de s'y plaire
Au moment de s'y croire
Sonnez les courants d'air
Faites donner l'exutoire
Il faudrait qu'on s'élève
Au fond il a d'la classe
Ou alors qu'on prenne la sève

Comme elle vient
Encore et encore

Tu la vois la belle bleue
Des feux de l'artifice
Et tu la sens même un peu mieux
A la faveur d'une éclipse
On voit du jour au lendemain
Que ça ne s'invente pas
Instantanément comme ça
Reprendre de volée d'aussi loin

Comme elle vient
Encore et encore

Comme elle vient
Comme on peut
C'est cruel et sans fard
Ça choisit pas, merci pour eux
Comme une flèche
Comme un pieux
C'est bon pour la mémoire
Ça vous fait quoi d'être au milieu ?
Hé camaradeSi les jeux sont faits
Au son des mascarades
On pourra toujours se marrer
Et tout le long des courants d'air
On voit des amoureux
Qui savent encore changer leurs nerfs
En un bouquet délicieux
On en aura des saisons
Des torrides et des blêmes
Je peux encore garder ton nom
Je peux aussi dire que je l'aime

Rien à dire (alors pourquoi poster?)

Voilà, c'est toute la bonne humeur d'une journée qui retombe d'un coup,
d'un seul.
Et en image ça donne ça:

J'ai un gros cafard qui traine dans mon lit . . .

Expo: S'élever par soi-même.

Voilà enfin un vrai travail. Et oui parce que non seulement j'ai eu une inspiration artistique que j'ai eu le courage de réaliser illico presto, et parce qu'en plus j'ai éssayé d'appliquer quelques régles élémentaires de photgraphie. Vouala le résultat, c'est simple mais efficace m'est avis. Et votre avis?

On ne savait pas quoi manger....

.. et là... tatatannnnn

.. une improvisation : tarte à la bolo-niaise. Et oui des fois j'ai de bonnes idées.. Ben même que Camille a adoré.

NIN : The great below

C'est LE morceau qui me donne des frissons... montez le son!!!

Exposition: La jeune mercenaire (Proposition retenue)

Exposition: Le fruit de nos entrailles...

Un vieux truc de derrière les

fagots (et oui Mademoiselle P est une énigme à monter en kit.. petits bouts par petits bouts ;)

et,

il y a ce poème, récemment composé par Ulysse lui-même...


Ode au nombril

Dépourvu de cicatrice
Le premier-né d’entres nous tous
Fut-il sans doute attristé
De se savoir contrefaçon

Cette majuscule blessure
Entre toutes, les intimes
Et bien qu’encor’ exhibée
Par impossible : obscène

Je confesse mon sans-gêne
Par façon désintéressée
Mon amour de cette énigme
Cette insolite couture

Prélude aux imaginations
Des espaces invaginés
Il convoque toujours la frousse
D’espérer qu’il soit complice

Sans réclamer, sans caprices
Sans souvenir, des secousses
Ne se rappelle plus jamais
Qu’il fut aussi mutilation

La nécessaire coupure
Hélas, la plus unanime
Moi, qui rêve de l’oreiller
Et encor’ de l’avant-scène

Quoique ce n’est pas sans peine,
Ni sans choir, même réveillé
Ni comment - oblique aux rimes
De mon rêve : la suture

Et pourtant plus d’obligations
Envers tous les morts que j’aimais
Mais sans doute j’éclabousse
Et tache encore ma lectrice.


Alors qu'est-ce qu'on dit? qu'est-ce qu'on dit ? MERCI!
Et surtout, si quelqu'un d'autre est inspiré par le thème du nombril, qu'il ne se gène pas..

Exposition: les raisins

Exposition: Le panier'd'pom'

Je déteste les natures mortes...

Grand crétin.

Je suis allée voir sur la page d'un connard "à claquer", et j'y ai trouvé un tract ("le ridicule tue", sur la page d'accueil, en bas) puant la moquerie gratuite, et la fièreté mal placée d'un "incisif intellectuel" qui a trouvé une nouvelle proie sur laquelle sauter à pieds-joints pour tenter de rebondir encore plus haut... au pays de la célébrité... vil connard!
Je me serrai bien volontiers déchainée un peu plus, vous faisant part -vous toujours aussi improbable lecteur- de ma haine de la médecine qui s'évertue à maintenir en vie des patients qui n'aspirent qu'à la mort, le plus longtemps possible... vaste connerie!Vous pouvez aussi aller lire ce tract à l'adresse:
http://marc.edouard.nabe.free.fr/Ridicule_Tue.pdf

Grrrr Quand je pense qu'en plus d'être con il est croyant: j'espère pour lui qu'il est allé se confesser après avoir écrit un truc pareil...

-"Depuis quand il ne faut pas souffrir pour vivre, et encore moins pour mourir?"
-Depuis que vivre c'est chouette!!

Expo: Le criquet

Une nouvelle journée

En vrac:

*J'ai goûté, pour la première fois de ma vie: un "Mc Flurry", avec une sauce au caramel chaud et des petits bouts de crumble. Quelle drôle d'expérience: les produits chimiques ben ça peut être bon! ^^ Je vais me coucher moins conne ce soir c'est sûr...

*J'ai redécouvert Korn et Manson... retour aux origines. Ben ça fait du bien!

*Consultation de la Pythie:
-Qu'est-ce que tu me conseilles aujourd'hui?
-***********
-...
-***
-.. C'est pas très moral tout ça ... faut que j'en parle avec ma conscience...

*J'ai fait une liste -non exhaustive- de toutes les choses qu'il fallait absolument que je fasse avant de crever.. la liste est longue... et inachevée.

*Réponse de ma conscience pas très morale non plus...


*Envie terrible d'un rhum... Je me raisonne.


*Sérénité totale, les pieds dans la pelouse sous un grannnnd arbre, bien au frais ...

*Rêve-Rêve-Rêve-Rêve Hmmm c'est bon ^^

Conclusion:

*Il faut que je me mette sèrieusement à l'épicurisme,

*Que j'apprenne à monter aux arbres comme une ninja (et oui ça fait partie de ma liste [oui je suis folle])

Sur ce ... je vais tenter de compléter ma liste (et de trouver les moyens de la réaliser sinon ça sert à rien.)

N'oubliez pas: "God is in the TV" et .. "il y a ce qui dépend de nous et ce qui n'en dépend pas".. en plus bien sur de la traditionnelle formule: "Vivre c'est chouette!"

Expo: de "l'art" abstrait...

And now.. the rita mitsouko! Et "C'est comme chaaaa".

Expo: Eggs

Complainte de la bourgeoise.

Je voudrai voyager. Pas dans des hôtels cinq étoiles comme une sale petite bourgeoise. Je veux savoir ce qu'est vraiment le monde, une vie, l'homme, une vie d'homme. Et pourquoi pas apprendre à aimer les hommes... Je me sens si inutile et si vaine! Il doit pourtant y avoir tant de mains à prendre, tant de regards à comprendre et tant d'autres à porter. Source inépuisable de connaissance et d'experience! Douloureuse immensité pour des pieds trop plats, irrémédiable vertige pour l'âme nouvelle... et puis merde! J'ai un élan de pitié: je m'arrête là pour vous épargner -vous, improbable lecteur-

L'oeil de SOnoko

Quand Sonoko me shoote...

Ugo, dit "la sulfureuse".

Je vous présente Ugo, fameuse Marquise (pute?) dans un costume de reconstitution historique, remarquez la finesse et l'élégance de ses mouches et de ses sabots... fais nous rêver Ugo! (C'est l'auteur de "Jean-Pierre et l'éléphant", juste au dessous.)

Jean-Pierre et l'éléphant (escarmouche des soldats d'Alexandre contre les indiens)

Voilà un exemple de ce que fait Ugo pour son école de BD (à Nantes). CLiquez pour agrandir c'est impressionant!

Jean de la Lune

J'étais toute euphorique quand j'ai retrouvé les paroles de cette chanson que me chantait mon grand-père, je ne me souvenait que de deux couplets, encore un héritage qui se perd[ait]. Quand je pousse la chansonette (pas trop loin sinon on la retrouve plus me dit mon papa), parfois il me revient ces paroles à l'esprit...

Par une tiède nuit de printemps,

Il y a bien de cela cent ans,

Que sous un brin de persil sans bruit

Tout menu naquit

Jean de la Lune, Jean de la Lune.

Il était gros comme un champignon

Frêle, délicat, petit, mignon,

Et jaune et vert comme un perroquet

Avait un bon caquet

Jean de la Lune, Jean de la Lune.

Pour canne il avait un cure-dent

Clignait de l'oeil, marchait en boitant,

Et demeurant en toute saison

Dans un potiron

Jean de la Lune, Jean de la Lune.

Quand il se risquait à travers bois,

De loin, de près, de tous les endroits,

Merles, bouvreuils sur leurs mirlitons,

Répétaient en rond:

Jean de la Lune, Jean de la Lune.

On le voyait passer quelquefois

Dans un coupé grand comme une noix,

Et que le long des sentiers fleuris

Traînaient deux souris,

Jean de la Lune, Jean de la Lune.

Si par hasard, s'offrait un ruisseau,

Qui l'arrêtait sur place aussitôt,

Trop petit pour le franchir d'un bond,

Faisait d'herbe un pont

Jean de la Lune, Jean de la Lune.

Quand il mourut, chacun le pleura

Dans son potiron, on l'enterra,

Et sur sa tombe on écrivit

Sur la croix : ci-gît

Jean de la Lune, Jean de la Lune.

La photo est encore de moi (une de mes premières), je l'aime bien parce qu'il me fait penser à un oratoire miniature: le Saint-champignon quoi!

Ps: désolée pour la mise en page pourrie, mais il veut pas me faire des espaces entre les paragraphes: Méchant!